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vendredi 8 juillet 2011

ESCALE A AMANU

Une première partie de traversée super cool ...




Nous avons décidé de faire une courte escale à AMARU à mi-chemin entre Gambier et TAHITI ;
Mais nous étions prévenus… la passe est étroite et il y a beaucoup de courant. Nous ne pourrons passer qu’à l’étale.
Philippe a fait ses calculs… Il nous faut impérativement arriver vers 14 heures.Et grâce au capitaine … nous sommes arrivés à 14 heures !
Nous n’avons pas encore l’habitude de ces passes et je suis un peu impressionnée, d’autant qu’un gros grain nous accompagne à l’arrivée.



Nous mouillons dans la darse juste devant PACIFIC BLISS arrivé quelques jours plus tôt.

C’est la fête à l’école... et oui nous avons oublié … nous sommes le 30 juin et donc, c’est le dernier jour d’école.
Dernier jours également pour le directeur et son épouse qui doivent repartir sur une nouvelle île à la rentrée prochaine (ils changent d’île tous les 2 ans)
Les habitants ont, selon la tradition, confectionné de très beaux colliers en coquillages et les offrent aux partants qui croulent sous le poids !



Le lendemain matin, les enfants sont en vacances et nous les voyons arriver à la nage au bateau. L’autorisation de monter sur les jupes arrières de TEREVA est accordée par le capitaine et ce sera une journée de sauts et de rires pour nos petits compagnons.




Les enfants veulent visiter le bateau… autorisation accordée 2 par 2 !
« c’est joli chez toi … et c’est joli comme tu parles » (ils parlent de mon accent car ici, c’est moi qui ai un accent.)
Le capitaine, décidément séduit par nos joyeux compagnons leur prête le canoë … Autant dire qu’il a fait des heureux !



A terre nous faisons connaissance, entre autres de Roger et d’Etienne et Célestine. Un joli moment ou nous répondons à leurs questions et leur racontons notre voyage. A leur tour, ils nous racontent leur vie quotidienne, les difficultés à vivre dans ces îles notamment pour les  enfants qui doivent partir loin de leur famille dès le collège, mais aussi leur bonheur de vivre dans ce lagon.

Ils vivent de l’exploitation du coprah (avec laquelle se fait le monoï) et de la pêche.
La terre n’est pas fertile. Peu de cultures et peu d’arbres fruitiers
A perte de vue … des cocoteraies !

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