CHOPARD, VUITON, HERMES ... Ils sont tous là ! |
MAURICE ET PHILIPPE FONT LES MAGASINS ... |
ON IMAGINE FACILEMENT LE NOMBRE DE PASSAGERS ... |
UN SOUS MARIN BLANC ... POUR LES TOURISTES |
Nous voilà à ARUBA et quelle déception !!!
Nous sommes arrivés dimanche soir et avons fait nos formalités d’entrée dès notre arrivée à EMBARCADERO, une zone portuaire sale et inhospitalière.
Pas d’aide à l’arrivée et le quai n’était pas très engageant … mais heureusement, les formalités ont été rapides (pour nous) et nous avons pu rejoindre le mouillage de ORANJESTAD juste à la tombée de la nuit (vers 19 heures sous ces contrées)
Le mouillage est rouleur mais l’eau est claire.
Nous sommes coincés entre l’aéroport ou plus d’une vingtaine d’avions atterrissent et décollent chaque jour et le terminal des paquebots de croisières. Le tout déversent des quantités de touristes bien portants et rougeauds qui prennent d’assaut les boutiques de souvenirs de la ville.
A l’horizon, c’est un chapelet de cargos et autres tankers …
La ville de ORANJESTAD est décorée comme un grand Disneyland auquel il manquerait Mickey !
Partout des centres commerciaux, des boutiques de souvenirs, bijouteries et boutiques de luxes et des casinos …
C’est très propre, aseptisé, climatisé … Mais comme nous regrettons le calme et la tranquillité des AVES!…
Des petites navettes traversent constamment notre mouillage à grande vitesse, secouant la dizaine de bateaux mouillés. Elle emmènent les touristes sur une petite plage privée ou, ils trouvent plage de sable blanc, transats, cocotiers, hamburgers et coca cola . On y trouve même quelques flamants roses à qui on a coupé les plumes et qui ne peuvent désormais plus s’envoler …
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