La météo clémente s’est bien dégradée et le vent d’Est souffle assez fort, nous déversant des trombes d’eaux.
C’est une bénédiction pour les pomotus (habitants des Tuamotu) qui peuvent enfin remplir leurs citernes (il n’y a pas d’eau douce sur les Tuamotu) mais pour nous qui devons rester enfermés dans le bateau, ce n’est pas très drôle … enfin, c’est toujours moins difficile que pour ces touristes japonais enfermés dans leur hôtel avec ponton et jacuzzi privés à 850 € la nuit …
Une légère accalmie est prévue pour mercredi et jeudi avant à nouveau des vents assez fort prévus pour durer une semaine …
Nous ne voulons pas rester encore bloqués au mouillage ici alors, c’est décidé nous repartons en direction d’Apataki.
72 milles nautiques nous séparent et avec un vent d’Est, il va falloir tirer des bords et naviguer au près … mais avec 15/20 nœuds de vent, cela devait bien se passer !
Et bien NON !!! Au lieu des 72 milles prévus, nous en avons parcouru … 180 !
Nous avons mis 30 heures et avons bien cru ne pas arriver à temps pour entrer dans la passe Nord d’Apataki au bon moment !
Même si le vent et la mer n’étaient pas trop forts, nous avions un courant d’Est contre nous nous empêchant de remonter correctement et nous obligeant à multiplier les virements de bord.
Arrivés vers 16h30, nous avons mouillé l’ancre de TEREVA dans un petit mouillage abrité car il n’est pas possible de naviguer de nuit dans le lagon.
En effet, outre les patates de corail, il y a de nombreuses bouées de perliculteurs , donc la vigilance et une bonne vision du paysage s’imposent.
Nous sommes donc arrivés le lendemain au motu TOTORO ou se trouve le chantier d’APATAKI
La beauté du site, n’a d’égal que la gentillesse de l’accueil de Pauline, Hervé et leur fils Tony.
C’est l’occasion pour nous de retrouver nos amis anglais de PACIFIC BLISS et de faire la connaissance d’autres navigateurs qui comme nous remontent sur les Marquises.
C’est une bénédiction pour les pomotus (habitants des Tuamotu) qui peuvent enfin remplir leurs citernes (il n’y a pas d’eau douce sur les Tuamotu) mais pour nous qui devons rester enfermés dans le bateau, ce n’est pas très drôle … enfin, c’est toujours moins difficile que pour ces touristes japonais enfermés dans leur hôtel avec ponton et jacuzzi privés à 850 € la nuit …
No comment ! |
Une légère accalmie est prévue pour mercredi et jeudi avant à nouveau des vents assez fort prévus pour durer une semaine …
Nous ne voulons pas rester encore bloqués au mouillage ici alors, c’est décidé nous repartons en direction d’Apataki.
72 milles nautiques nous séparent et avec un vent d’Est, il va falloir tirer des bords et naviguer au près … mais avec 15/20 nœuds de vent, cela devait bien se passer !
Et bien NON !!! Au lieu des 72 milles prévus, nous en avons parcouru … 180 !
Nous avons mis 30 heures et avons bien cru ne pas arriver à temps pour entrer dans la passe Nord d’Apataki au bon moment !
Même si le vent et la mer n’étaient pas trop forts, nous avions un courant d’Est contre nous nous empêchant de remonter correctement et nous obligeant à multiplier les virements de bord.
Arrivés vers 16h30, nous avons mouillé l’ancre de TEREVA dans un petit mouillage abrité car il n’est pas possible de naviguer de nuit dans le lagon.
la passe Nord d'APATAKI |
En effet, outre les patates de corail, il y a de nombreuses bouées de perliculteurs , donc la vigilance et une bonne vision du paysage s’imposent.
Nous sommes donc arrivés le lendemain au motu TOTORO ou se trouve le chantier d’APATAKI
arrivée au chantier |
La beauté du site, n’a d’égal que la gentillesse de l’accueil de Pauline, Hervé et leur fils Tony.
C’est l’occasion pour nous de retrouver nos amis anglais de PACIFIC BLISS et de faire la connaissance d’autres navigateurs qui comme nous remontent sur les Marquises.
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