Difficile de quitter Santa Marta !
Pour son ambiance, la gentillesse de la population mais surtout à cause de la météo
Le vent souffle fort sur tout le secteur (et actuellement uniquement sur le secteur) … Nous avons enregistré une nuit une rafale à 50 nœuds…
Le vent se calme le matin pour reprendre de plus belle l’après-midi.
Après avoir remis notre départ, nous trouvons une fenêtre météo un peu moins mauvaise pour nous échapper.
Le vent est fort mais il est portant et finalement tout se passe très bien malgré quelques très belles vagues un peu impressionnantes …
Les américains de la marina nous ont conseillé de faire escale exactement à mi chemin à HERMANOS une des nombreuses plages aménagées de la côte. L’endroit est très « safe » selon eux …
Nous traversons de jour comme prévu le RIO MAGDALENA qui se jette dans la mer
Un marquage des eaux impressionnant !!!… une odeur de terre … il va falloir veiller car nous risquons de rencontrer sur la route des troncs d’arbres et autres déchets rejetés par le fleuve…
Et soudain … LA CATA !!! Plus de pilote automatique !!!
Notre fidèle compagnon a rendu l’âme et il nous faux barrer « à l’ancienne » pour arriver à bon port.
Nous y arrivons de jour heureusement car les cartes sont justes mais il manque une longue bande de terre de près d’un mille nautique que nous devons contourner pour entrer dans ce mouillage.
Philippe recherche la panne et constate que c’est grave !!!
le pilote n’a plus d’embrayage et nous n’en avons pas de rechange …
Il va falloir continuer à barrer jusqu’à Cartagène ou nous espérons pouvoir réparer…
Départ tôt le lendemain car le vent doit se renforcer dans l’après midi et tout se passe bien . Nous quittons le secteur venté et arrivons à Cartagène vers 16h30.
La ville se repère de très loin avec tous ses buildings …
A l’arrivée il nous faut chercher « la passe »
En effet, les espagnol ont fait construire par leurs esclaves une muraille sous marine jusqu’à 0,60cm sous l’eau, afin de stopper (voire couler) les bateaux de pirates.
Depuis, un passage a été creusé afin de laisser passer les petites embarcations (les cargos font le tour ce qui allonge la route de plus de 10 milles.
A l’arrivée plages bondées, buildings de plus de 30 étages et puis la vieille ville …
Un mélange de modernité et de tradition ….
Un petit tour rapide au Yacht club (bondé et très vétuste) et c’est la nuit.
Demain nous irons découvrir la magnifique vieille ville classée au patrimoine mondial de l'UNESCO et avant toute chose … tenter de trouver les pièces pour réparer notre pilote.
PS : Pas d'internet au bateau ... il faut courir après les rares Cyber Café ...alors patience, vous aurez bientôt de nos nouvelles
Pour son ambiance, la gentillesse de la population mais surtout à cause de la météo
Le vent souffle fort sur tout le secteur (et actuellement uniquement sur le secteur) … Nous avons enregistré une nuit une rafale à 50 nœuds…
Le vent se calme le matin pour reprendre de plus belle l’après-midi.
Après avoir remis notre départ, nous trouvons une fenêtre météo un peu moins mauvaise pour nous échapper.
Le vent est fort mais il est portant et finalement tout se passe très bien malgré quelques très belles vagues un peu impressionnantes …
DE BELLES VAGUES ... |
Les américains de la marina nous ont conseillé de faire escale exactement à mi chemin à HERMANOS une des nombreuses plages aménagées de la côte. L’endroit est très « safe » selon eux …
Nous traversons de jour comme prévu le RIO MAGDALENA qui se jette dans la mer
Un marquage des eaux impressionnant !!!… une odeur de terre … il va falloir veiller car nous risquons de rencontrer sur la route des troncs d’arbres et autres déchets rejetés par le fleuve…
Et soudain … LA CATA !!! Plus de pilote automatique !!!
Notre fidèle compagnon a rendu l’âme et il nous faux barrer « à l’ancienne » pour arriver à bon port.
Nous y arrivons de jour heureusement car les cartes sont justes mais il manque une longue bande de terre de près d’un mille nautique que nous devons contourner pour entrer dans ce mouillage.
LES PLAGES D'HERMANOS |
le pilote n’a plus d’embrayage et nous n’en avons pas de rechange …
Il va falloir continuer à barrer jusqu’à Cartagène ou nous espérons pouvoir réparer…
Départ tôt le lendemain car le vent doit se renforcer dans l’après midi et tout se passe bien . Nous quittons le secteur venté et arrivons à Cartagène vers 16h30.
La ville se repère de très loin avec tous ses buildings …
A l’arrivée il nous faut chercher « la passe »
En effet, les espagnol ont fait construire par leurs esclaves une muraille sous marine jusqu’à 0,60cm sous l’eau, afin de stopper (voire couler) les bateaux de pirates.
Depuis, un passage a été creusé afin de laisser passer les petites embarcations (les cargos font le tour ce qui allonge la route de plus de 10 milles.
de chaque côté des bouées ... une muraille à 60 cm sous l'eau ... |
A l’arrivée plages bondées, buildings de plus de 30 étages et puis la vieille ville …
Un mélange de modernité et de tradition ….
Une vierge à l'enfant à l'entrée du Port |
Un petit tour rapide au Yacht club (bondé et très vétuste) et c’est la nuit.
Demain nous irons découvrir la magnifique vieille ville classée au patrimoine mondial de l'UNESCO et avant toute chose … tenter de trouver les pièces pour réparer notre pilote.
PS : Pas d'internet au bateau ... il faut courir après les rares Cyber Café ...alors patience, vous aurez bientôt de nos nouvelles
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